La souffrance d’une dépression ou d’un épisode de déprime affecte aussi bien les émotions – au ras des pâquerettes – que le corps physique qui fatigue plus facilement lorsqu’on a une dépression, car le corps et la psyché sont liés.
J’ai connu de nombreux épisodes
de déprimes dans ma vie, ainsi que de la dépression plus ou moins
chroniquement, depuis que je suis enfant.
Les causes peuvent varier et sont parfois difficiles à détecter. D’autres occasions, la dépression est juste une phase dans ma cyclothymie, et dans les moments les plus ardus, je me suis trouvé avec plusieurs dépressions au même temps : une étant dans mes cycles, une autre plus d’arrière-plan, etc.
Les causes peuvent varier et sont parfois difficiles à détecter. D’autres occasions, la dépression est juste une phase dans ma cyclothymie, et dans les moments les plus ardus, je me suis trouvé avec plusieurs dépressions au même temps : une étant dans mes cycles, une autre plus d’arrière-plan, etc.
Avant de sauter et me suggérer
des médocs, je dois dire que je les refuse catégoriquement, pour plusieurs
raisons :
Je ne réponds pas souvent
favorablement aux traitements chimiques de l’allopathie ; Je sais les risques
et effets secondaires indésirables ; Je refuse tant que cela est possible
d’utiliser des médicaments tirés de tests sur animaux et qui apportent des
sommes faramineuses à l’industrie pharmaceutique. Je pense qu’il est
préférable, quand cela est possible, d’utiliser les médecines douces, plus
précisément les plantes médicinales dont on connais avec certitude l’efficacité.
En dehors de ces apports, il faut aussi s’assurer de bien manger, équilibré et varié ; mes choix sont formés à partir de ma philosophie de vie et approche holistique.
En dehors de ces apports, il faut aussi s’assurer de bien manger, équilibré et varié ; mes choix sont formés à partir de ma philosophie de vie et approche holistique.
Avoir de la régularité dans les
heures de repas et activités quotidiennes, tout comme tenir l’appartement
propre et le plus organisé possible, aident à limiter les méfaits et
recrudescence des périodes de dépression dans la cyclothymie. J’en ai fais
l’expérience suffisamment de fois dans ma vie pour le savoir. C’est un principe
»feng shui », sans pour autant suivre les préceptes de cette art
chinois qui comprends aussi des règles d’agencement et d’autres choses dont mon
esprit critique a du mal à trouver une logique suffisante.
Rester occupé avec des activités
diverses et variées, de la lecture aux jeux, les balades, est important pour
avoir un corps plus sain ; cela aide aussi le cerveau à décompresser
et ne plus se focaliser uniquement sur le négatif, les difficultés rencontrées
dans la vie.
Faire de l’exercice physique –
par ex la marche/balade/ rando dans les bois et montagne me ressource
énormément, d’une part grâce à l’air frais, la nature, le fait de marcher brûle
des calories mais aussi l’energie (et donc je dors mieux= moins de stimuli).
Vu que j’apporte aussi mon apn
lors des balades, je reviens avec des photos : cela m’occupe et me donne
de la satisfaction d’une activité physique et artistique/créative.
Dans les médecines douces, je
fais le tri également, car il existe pas mal de techniques et de pseudosciences
dont les bases me font »doucement rire » pour faire un jeu de mots…
je n’utilise pas n’importe quoi, même si je crois en certaines choses, je ne
prends pas tout aveuglément comme une vérité absolue. Je pense très important
d’exercer l’esprit critique et faire des choix favorables et aussi logiques et
pragmatiques.
Parmi les plantes, je trouve
utiles :
La mélisse, la verveine : douces
au goût, les tisanes et décoctions aident la relaxation, et maux de
tête/migraines, entre autres. Réduire la nervosité avec ces plantes aide à
limiter un peu ou beaucoup les effets »déprime »
La lavande sous forme d’’huile
essentielle : quelques gouttes sur le coussin relax la nuit et favorise un
sommeil plus calme… il est important de se lever ‘’du bon pied’’ n’est-ce pas…
Il est tout à fait possible de
guérir, ou du moins d’amoindrir les effets des dépressions et déprimes ;
ceci dit, j’ai appris au fur des lectures et de séances avec le psy tcc, que
des personnes souffrant de phobies sociales et de dépression ont un grand % de
risques d’avoir des retours d’épisodes de déprime et de dépression. Il faut
donc savoir accepter que cela peut arriver, mais ne pas développer de l’anxiété
face à cette possibilité ; cela ne fait que créer des pensées négatives
qui peuvent devenir une mauvaise habitude et il sera plus difficile de s’en
débarrasser, car on doit réapprendre à penser autrement, à changer les
cognitions.
En lisant ‘’self-help for your
nerves’’, je retiens les conseils d’acceptation, de comprendre qu’il est
possible de guérir car la dépression est temporaire, les activités
régulières et ‘’programmées’’ aide à réduire le stress que l’inactivité peut
favoriser ; ne pas sur-analyser les faits du jour durant la nuit évite une
rechute systématique au matin, et il faut substituer les pensées négatives par
l’espoir.
C'est sûr que devenir anxieux pour la dépression, ça rajoute une couche aux anxiétés :s
RépondreSupprimerAvoir plusieurs dépressions en même temps ? C'est-à-dire ? Peux-tu m'expliquer ? ^^ C'est quand on est déprimé pour plusieurs raisons en même temps ?
voilà, plusieurs causes en même temps ou presque, ce qui fait que parfois je traverse plusieurs dépressions en parallèle, se chevauchant plus ou moins dans le temps.
RépondreSupprimerQuand on a l'anxiété que ça revienne - les chances que ça revienne sont énormes quand on a phobie sociale + dépression, ça devient très compliqué à gérer car on entre dans le cycle de la peur, et la peur d'avoir peur... la peur que la dépression reprenne cause souvent son retour à force de s'auto-suggérer le risque...