Auteur : Catherine Vasey
Note : ?/10
Année: 2012
Jouvence éditions. ISBN 978-2-88911-301-9
145 pages (réelles, paginé de 11 à 155)
Suspectant de connaître quelques personnes qui souffriraient de
burn-out, j'ai voulu m'informer plus précisément sur ce phénomène social, cette
maladie qui ressemble à l'état dépressif, mais qui a la particularité d'être
spécifiquement relatif au monde du travail.
Terme récent, crée en 1970, il désigne un processus dont 170
symptômes ont été répertoriés mais qu'il
est possible de synthétiser en 5 grandes classes.
Les annexes du livre, auxquels l'auteure invite les lecteurs dès le
chapitre 3, proposent des tableaux et graphiques d'auto-diagnostique des
symptômes aux niveau émotionnel,
intellectuel, corporel, comportemental et relationnel, en indiquant la
fréquence d'apparition et présence de chaque symptôme.
Ensuite, les tableaux de rythme de travail comparé à la récupération :
un sur l'année, l'autre sur 24 heures. Enfin, une échelle de perfectionnisme.
Ces annexes sont pages 137-147.
En tout, le livre est divisé en 6 chapitres pour définir le burn-out, le
mettre dans le contexte du monde du travail moderne, savoir le détecter, le
prévenir.
Il est illustré de petits dessins parfois humoristiques ; facile et
rapide à lire tant qu'on ne se trouve pas fatigués durant un burn-out, j'aime
la clarté des textes et les apartés de témoignages et petites astuces
parsemées.
Je n'ai pas trouvé la préface utile, et encore moins sa fin annonçant
une situation perturbante de tests sur des rats pour présenter l'ouvrage...
Même constant concernant l'illustration de couverture, un choix qui me désole de la mentalité derrière ce cliché...
J'ai mis un terme à ma lecture un peu avant la fin à cause de répétitions et d'imageries qui représente du spécisme de l'auteure. Je n'aime pas du tout des gens qui ne savent pas parler sans faire appel à des images d'animaux qu'on tue.
Au début de la lecture de ce billet, je me suis dit, pourquoi pas tester. A la fin de ma lecture, il est hors de question que j'achète ce livre. Le spécisme non merci.
RépondreSupprimerTu as raison, je trouve cela inutile, si c'est pas pour dénoncer le spécisme.
exactement mon sentiment... utiliser des images comme ça, et parler de la sorte, m'ont rebuté et je n'ai pas voulu finir. Il existe assez de livres sur le sujet et surtout des articles en ligne
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