Vous avez peut-être remarqué qu'après avoir suivi les deux tiers du défi #30dayblogchallenge en mars, ma régularité en avril a chuté rapidement et que j'ai publié seulement 13 entrées en 9 jours réparties tout au long du mois.
En effet, grâce au défi, mes messages en mars ont brisé tous les records en régularité et j'ai atteint mon plus grand nombre d'entrées dans un mois: 34. Je me suis sens très accompli.
En outre, pendant 3 semaines avant un anniversaire d'un événement traumatique, je suis resté très actif et concentré fortement sur les points positifs et j'ai gagné une bataille important en ayant une bonne journée au lieu des flashbacks habituels, de la dépression et de la propension pour les accidents lors de cet anniversaire.
J'avais posté mes outils pour un soulagement post-traumatique, mais peu de temps après, ma concentration et mon énergie ont brûlées et depuis, mes énergies psychologiques et physiques ont été à leur plus bas niveau. Je faisais tant de courses, mais ma fatigue générale a été si grande que je n'ai pu trouver aucune inspiration ni énergie pour faire beaucoup plus.
Mon épuisement m'a empêché de poster plus d'entrées sur mes blogs, et j'ai dû réduire mes interactions avec des ami(e)s, tant sur Internet qu'hors connexion.
Hier, la fatigue m'a frappé tellement fortement qu'après ma session tcc, j'ai fait une sieste pendant 4 heures et, après le dîner, j'ai réussi à discuter avec 2 amies sur Twitter avant de laver la moitié de la vaisselle, rester un peu plus sur le PC et suis allé au lit plus tôt que d'habitude.
Après tout cela, je trouve important de ralentir la cadence, de réduire mon niveau d'activité et d'espérer resurgir et profiter des jours plus agréables et plus chauds à venir. Je dois faire une randonnée dès que possible et me ressourcer dans la nature.
J'espère trouver des façons plus douces de réaffecter un anniversaire traumatique ou simplement un travail de base pour en récupérer quotidiennement, et ne pas brûler autant.
La récupération n'est pas une ligne droite, et nous devons tous être patients avec nous-mêmes.
It's ok to not be ok c'est à dire que que si nous nous sentons mal, c'est ok, nous ne devons pas en culpabiliser, même s'il vaut mieux se rétablir, guérir et passer de la survie à la prospérité (qui est le sujet de la semaine de la santé mentale de 2017, qui a lieu du 8 mai et sur lequel j'espère avoir une ou deux entrées).
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