Multiple avertissements de déclenchement s'appliquent à cette section du livre
Le troisième article de ce livre correspond à sa deuxième section intitulée La victime de crime violent.
Au vu de son contenu, j'ai divisé ma lecture et alterné avec de la fiction (actuellement le coffret de Sherlock Holmes), pour éviter les déclenchements, dont je vous préviens, mes lecteurs.
Le contenu suivant peut être difficile à lire, alors soyez prudent lorsque le mot commençant en V et les autres types de victimisation sont abordés dans cette section du livre.
Il s'agit de la partie la plus longue, allant des pages 111 à 224, en commençant par une présentation de son sujet et des auteurs par l'éditeur, Frank Ochberg (P. 111-113) et englobe les chapitres suivants
6) Pouvoir personnel et victimisation institutionnelle: traiter le double traumatisme des femmes battues.
7) Trauma de viol et traitement de la victime
8) L'inceste père-fille
Je vous expliquerai les 2 derniers chapitres de ce segment dans mon prochain post à propos de ce livre.
9) Thérapie post-traumatique pour les enfants victimes de violence
10) Homicide d'un enfant
Le chapitre 6 est particulièrement long (P. 115-151, les 2 dernières sont les références).
Dans la première partie de ce chapitre, les auteurs, Evan Stark et Anne Flitcraft, un couple qui fait équipe dans la recherche et le traitement, discutent des définitions juridiques de "violence conjugale", "abus", "violence" et expliquent les difficultés auxquelles les femmes maltraitées et battues sont confrontées afin d'être reconnues socialement et politiquement, car elles sont doublement victimisées, d'abord par les agresseurs, et ensuite par toutes les institutions.
Ces derniers avaient tendance, au moment de parution du livre (à des degrés variables, c'est malheureusement toujours le cas 30 ans plus tard, aujourd'hui!), soit à ne pas croire les récits des femmes et leurs demandes d'aide, soit à les blâmer et à les reléguer au rôle de femmes dans le besoin d'être sauvées, au lieu des nouveaux courants d'autonomisation des femmes qui avaient commencé à s'épanouir à l'époque - à travers l'existence de centres de refuge, où les femmes étaient généralement aidées par d'autres femmes à s'autonomiser et à s'aider mutuellement.
Dans la deuxième partie de ce chapitre (p.128-139), les auteurs donnent 2 études de cas de femmes qui ont été sévèrement maltraitées, mal diagnostiquées et maltraitées par les différents établissements et le corps médical, pour illustrer leur précédente déclaration.
Dans la dernière partie (p. 139-150), ils discutent des changements qui doivent être faits pour autonomiser les femmes, les institutions médicales, la police et, finalement, les normes sociétales de genre, afin d'offrir un diagnostic, une thérapie et éviter de piéger ces femmes et des douleurs supplémentaires.
Les cas étudiés peuvent déclencher.
Les chapitres 7 et 8 sont encore plus difficiles à lire. J'ai lu des parties de 7 et parcouru 8, qui détaille plus loin une partie d'un sujet soulevé dans 7.
Le chapitre 7 a été rédigé par Carol R. Hartman et Ann Wolbert Burgess. Elles discutent du traumatisme du viol et du traitement de la victime, avec des conseils généraux aux thérapeutes, et présentés au moyen d'études de cas. Il va des pages 152-175, et divise le traitement en étapes concernant le stress post-traumatique, en relation avec l'état pré-traumatique de la victime (difficile à évaluer), le diagnostic, y compris les symptômes spécifiques du TSPT, puis introduit le sujet qui est détaillé plus en détail au chapitre 8, avec une étude de cas également.
Les auteures expliquent l'importance non seulement de la thérapie et de la réponse générale des milieux sociaux de la victime, mais aussi de toutes les personnes impliquées, de la police, du personnel hospitalier / médical et des thérapeutes, à chacun de ces types de victimisation.
Le chapitre 8 (P. 196-212), par Judith Lewis Herman, détaille le traitement du TSPT par rapport à l'inceste père-fille.
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