Je suis revenu de ma 12e session TCC et maintenant il est temps de les résumer - après avoir discuté brièvement de la précédente, celle du 9 novembre.
Celle-ci fut précédée de 3 semaines pendant lesquelles j'ai eu de grandes difficultés et avais perdu la motivation, me sentant sous la grande pression de ma santé mentale - comme je l'ai détaillé en poste 145.
Comme suite à plusieurs entrées précédentes sur les questions de genre non-binaire, et l'estime de soi dont je souffre à ce jour, je veux discuter aujourd'hui d'aspects que je n'ai même pas mentionnés.
J'ai commencé ce sujet dans le post 148 et voyant mon entrée de plus en plus longue, et qui concerne principalement ma dysmorphie (cheveux et chant), je poursuis mon train de pensée dans cette deuxième partie.
Comme suite à plusieurs entrées précédentes sur les questions de genre non-binaire, et l'estime de soi dont je souffre à ce jour, je veux discuter aujourd'hui d'aspects que je n'ai même pas mentionnés.
La première est la dysmorphie, qui est une préoccupation obsessionnelle selon laquelle un ou plusieurs aspects de sa propre apparence sont ou sont imparfaits, et nécessiteraient des mesures pour les fixer ou les cacher.
Novembre est le mois international du véganisme. Je suis l'exemple de ma femme et participe au tag végétalienne - dans le blog.
J'ai retardé ce poste pendant un bon moment, mais je pense qu'il est grand temps de vous dire quelque chose de très important: je fais mon coming out ... comme un athée.
Voilà, j'ai dit l'insondable mot débutant en A. Ce sale mot qui semble choquer beaucoup trop de gens, comme s'il était synonyme d'être un pécheur et une mauvaise personne quand c'est tout le contraire.
Parfois, ma santé mentale pèse tellement sur mes épaules, elle est aussi lourde qu'une brique de 16 Tonnes, comme dans le célèbre sketch des Monty Python. J'aurais aimé avoir plus de vacances de mes nombreuses phobies et stress post-traumatique.
J'ai ressenti la sur-présence de mes maladies mentales avec une telle acuité, que cela est devenu, une fois de plus, très déprimant. Ce n'est pas un bon sentiment d'éprouver tant de poids et la fatigue de ces difficultés- ces anxiétés sociales et de nombreuses autres phobies, en particulier scato, émeto, et les phobies du sang qui font de ma vie quotidienne une série de difficultés et limitent mes activités, gouverne mes choix de divertissement...
