Cette entrée se rapporte toujours à la deuxième section du livre, intitulée La victime d'un crime violent. Je vous rappelle qu'il s'agit d'un livre non-traduit en Français et que je vous explique son contenu en termes francophones.
Au vu du contenu des chapitres 6-8, j'avais choisi de scinder cette section afin que ceux qui ne voulaient pas lire sur leurs aspects difficiles puissent passer directement à celui-ci.
Cependant, les deux chapitres suivants contiennent tous deux leur propre type d'avertissement de déclenchement possible. Lisez donc avec précaution.
Ces chapitres sont:
9) Thérapie post-traumatique pour les enfants victimes de violence
10) Homicide d'un enfant
Le chapitre 9, de Carol T. Mowbray, soulève les études de cas, la littérature et les connaissances psychologiques alors limitées sur les différences possibles (en thérapie post-traumatique) entre les enfants et les adultes, et présente ainsi un aperçu des normes actuelles - de 1988- connaissances, littérature et cas études.
Celles-ci sont de portée limitée et ont souvent des résultats contradictoires, mais l'auteure présente néanmoins des conclusions possibles et des différences d'âge chez les enfants victimes, quant à leur niveau de développement sous plusieurs formes:
Ceux des mécanismes cognitifs, moraux, d'adaptation et de défense, des réactions au chagrin et au deuil.
Ensuite, elle discute de la littérature (de psychothérapeutes), de la gravité et des types de problèmes selon l'âge - avec un tableau des réactions courantes des victimes selon les groupes d'âge : d'âge préscolaire, d'âge scolaire et d'adolescents.
La dernière partie de ce chapitre présente les conclusions possibles en termes de:
Relation entre les problèmes des enfants victimes et le traumatisme de la victime adulte, les implications du traitement et la prévention.
Ce chapitre couvre les pages 196-212, tandis que les pages 210-212 présente un résumé et des références.
Le Chapitre 10 Homicide d'un enfant, est court, en raison du manque de recherche sur le sujet au milieu des années 1980. Il a été écrit par Edward K. Rynearson. Il décrit les quelques différences notées dans le genre de TSPT vécu par les parents qui ont perdu leur enfant assassiné ou disparu.
Évidemment, il s'agit d'un cas où les personnes qui ont survécu sont celles qui souffrent du TSPT, car la victime n'est plus là. Il y a un aspect supplémentaire de la colère envers la personne qui a tué, au moins jusqu'à la rétribution, mais ne s'arrête pas toujours à ce moment.
Les types d’hyper-vigilance, d'évitement, d'anxiété et de stress post-traumatique peuvent durer toute une vie.
L'auteur discute également du fait qu'un thérapeute ne devrait pas s'attendre à ce que ces parents cessent leur attachement à leur enfant, même s'il est mort. Au lieu de cela, le thérapeute doit se concentrer à aider les souffrants à se rétablir autant que possible, dans les limites de leurs affecte, car leur rôle de parent a été interrompue et changée radicalement.
Ce chapitre va des pages 213-224 ; 223-224 incluent des références.
Ceci termine la deuxième section du livre.
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